L’achèvement sous Louis XIII (1610-1643) de l’enceinte des Fossés Jaunes entraîne l’urbanisation des vastes terrains compris entre cette enceinte et le vieux rempart de Charles V. Cette urbanisation accentue la croissance de Paris vers l’ouest, qu’annonçaient les transformations du Louvre voulues par François Ier (1515-1547) et la construction du palais des Tuileries voulue par Catherine de Médicis.

La croissance de Paris vers l’ouest

Jusqu’au XVIe siècle, la croissance de Paris à l’ouest de la rue Saint-Denis – structurée par les rues Saint-Denis, Montmartre, Saint-Honoré et ponctuée par les enceintes de Philippe-Auguste puis de Charles V – se déploie « en éventail », à partir des Halles.

La décision de Louis VI le Gros (1108-1137) de créer le marché des Champeaux en constitue le point de départ. La construction du mur de Philippe-Auguste accélère ce développement au XIIIe siècle et, vers 1300, l’espace compris entre la rue Saint-Honoré et la rue Saint-Denis, protégé par le mur d’enceinte, est entièrement bâti. L’espace urbanisé s’étend même au-delà, au débouché des portes Saint-Honoré [à hauteur du 150 rue Saint-Honoré] [1], Montmartre [à hauteur du 30 rue Montmartre] [2] et Saint-Denis [à hauteur du 135 rue Saint-Denis] [3] (voir Les Champeaux 1000-1300).

Pour protéger ces faubourgs, une nouvelle enceinte, dite de Charles V, est construite entre 1364 et 1420 (voir Paris 1300-1450, vue d’ensemble). Le modèle de croissance du XIIIe siècle se reproduit alors : l’espace protégé par la nouvelle enceinte est très vite entièrement bâti, et l’aire urbanisée déborde extra-muros, au débouché des nouvelles portes Saint-Honoré [à hauteur du 161 rue Saint-Honoré] [4], Montmartre [à hauteur du 86 rue Montmartre] [5] et Saint-Denis [à hauteur du 246 rue Saint-Denis] [6] (voir Paris 1450-1600, vue d’ensemble).

De ce développement « en éventail », le réseau viaire actuel garde trace dans les rues de l’Oratoire, du Jour, Mauconseil, – anciens chemins de ronde intérieurs du mur de Philippe-Auguste ; Jean-Jacques Rousseau, Tiquetonne – anciens chemins de ronde extérieurs [7] ; Bouloi, du Coq-Héron, Hérold, d’Argout – parallèles aux deux enceintes.

Plan de Vassalieu (1609) : détail montrant, au premier plan, l’enceinte des Fossés Jaunes, encore inachevée et, en arrière-plan, la ville protégée par la muraille de Charles V.
Au devant des portes Saint-Honoré, Montmartre et Saint-Denis, on aperçoit, de droite à gauche, le palais et le jardin des Tuileries, le faubourg Saint-Honoré puis, encore très peu construits, les faubourgs Montmartre et Villeneuve.

Vers 1600, tout l’espace inclus dans l’enceinte de Charles V est donc urbanisé. Quand la décision est prise de construire l’enceinte des Fossés Jaunes, le tracé en est déterminé par la nécessité de protéger les Tuileries et les faubourgs Saint-Honoré, Montmartre et Villeneuve – ce dernier sur la butte de Bonne-Nouvelle, butte de gravois dominant le rempart, où des maisons sont bâties au XVIe siècle, puis démolies sur l’ordre du roi pour des raisons de sécurité [8]. De nouvelles constructions y apparaissent à partir de 1623 – année où Louis XIII accorde la franchise « à toutes personnes qui exerceront les arts et métiers, d’y travailler publiquement et d’y tenir boutique ouverte à l’instar du Temple » – et, dès avant la construction de l’enceinte, des rues parallèles sont ouvertes selon un plan en damier entre les rues de Beauregard et de la Lune : rues Notre-Dame-de-Recouvrance, de la Ville-neuve, Thorel et Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle [9].

Hors ces faubourgs, la nouvelle enceinte enferme de larges espaces non bâtis, à l’intérieur d’un périmètre qu’on peut circonscrire en traçant les lignes joignant les différentes portes : pour l’enceinte de Charles V, la porte Saint-Denis [à hauteur du 246 rue Saint-Denis], la porte Montmartre [à hauteur du 86 rue Montmartre], la porte Saint-Honoré [à hauteur du 161 rue Saint-Honoré] ; pour l’enceinte des Fossés Jaunes, la porte Saint-Honoré, troisième du nom [à hauteur du 422 rue Saint-Honoré] [10], la porte Richelieu [à hauteur du 80 rue de Richelieu] [11], la porte Montmartre, troisième du nom [à hauteur du 158 rue Montmartre] [12], la porte Poissonnière [à hauteur du 40 rue Poissonnière] [13].

Les traités Pidou et Froger

Les travaux de construction de l’enceinte des Fossés Jaunes, commencés en 1566, ont été interrompus vers 1585 (voir Le développement des faubourgs 1450-1600). Ils sont repris à partir de 1631 sur la base de traités qui illustrent une pratique radicalement nouvelle, « celle du développement du réseau par l’aménagement de grandes emprises, leur viabilisation et division en parcelles sous l’initiative spéculative d’aménageurs privés (parlementaires, entrepreneurs et financiers) [14]».

Portrait du cardinal de Richelieu entouré de six figures allégoriques,
estampe de Philippe de Champaigne (1642)

Le premier de ces traités est conclu le 9 octobre 1631 avec Pidou, commis de Le Barbier [15]. Les aménagements que ce dernier s’engage à réaliser sont considérables. Ils portent sur la nouvelle enceinte – avec la construction d’un front bastionné, depuis le bout du clos des Tuileries jusqu’à la porte Saint-Denis, et de quatre nouvelles portes – mais aussi sur la construction d’un grand canal rendant navigables les fossés tout au long de l’enceinte de la rive droite, depuis l’Arsenal jusqu’à la porte de la Conférence [quai des Tuileries, à hauteur de l’Orangerie] ; la construction de quais sur la rive droite, depuis la porte de la Conférence jusqu’à la porte Neuve [quai des Tuileries, un peu en aval du Pont-Royal], et sur la rive gauche depuis la porte de Nesle [quai de Conti, à hauteur de l’Institut] jusqu’au vis-à-vis du pavillon du Louvre [pavillon de Flore] ; la couverture du grand égout depuis la porte du Temple [à hauteur du 180 rue du Temple] jusqu’à Chaillot. Le traité Pidou autorise aussi la construction de marchés, d’une halle au faubourg Saint-Germain, et la construction d’un pont en bois et d’une pompe, suivant la permission déjà donnée aux sieurs de Vassan, de Garsanlan, Le Barbier et Sandras (voir Le lotissement de la reine Margot). En contrepartie, Pidou reçoit les terres du vieux rempart de Charles V depuis la porte Neuve jusqu’à la porte Saint-Denis ; les terres appartenant au roi ou au public enfermées dans la nouvelle enceinte ; les terres de l’ancien égout. Il reçoit également la perception, sur plusieurs années, de droits sur les propriétaires des nouveaux terrains, ou riverains de l’égout qui sera recouvert ; ainsi que, pour le canal, 1 000 000 livres et la perception de divers droits.

Ce premier traité – complété le 7 juillet 1632 par un autre traité visant à englober, rive gauche, les faubourgs Saint-Germain, Saint-Michel, Saint-Jacques, Saint-Marcel et Saint-Victor dans une nouvelle enceinte – soulèvera de fortes oppositions et sera finalement cassé par décision du Conseil du roi du 31 décembre 1632.

Vue et perspective du jardin et du pont des Tuileries, dessin d’Israël Silvestre (1652).
On aperçoit au centre, en bord de Seine, la Porte de la Conférence et, au fond, le palais des Tuileries.

Le Barbier, qui avait fait du front bastionné sa priorité – le projet de canal ne sera jamais réalisé – avait déjà conclu un ensemble de contrats en vue de la construction des portes de la Conférence, Saint-Honoré et Montmartre. Aussi parvient-il à obtenir qu’un second traité soit conclu, le 23 novembre 1633, entre le Conseil du roi et son commis Froger, qui reprend l’essentiel des dispositions du traité Pidou relative à l’enceinte des Fossés Jaunes [16]. Froger s’engage à achever la construction de l’enceinte, à faire édifier deux nouvelles portes, à raser l’ancien rempart. En contrepartie, Froger reçoit, comme Pidou, les terrains de l’ancien rempart pour les lotir, ainsi que les terrains englobés dans la nouvelle enceinte qui, appartenant au roi ou au public, seront employés pour le rempart et les nouvelles rues. Froger reçoit également 79 000 livres et la perception, sur plusieurs années, de droits sur les propriétaires des nouveaux terrains.

L’urbanisation des terrains de l’enceinte de Charles V

L’enceinte de Charles V que Le Barbier s’est engagé à raser est en partie ruinée au début du XVIIe siècle et les fossés sont à demi comblés [17]. Les terrains de cette enceinte, depuis le Louvre jusqu’à la porte Saint-Denis, couvrent à peu près une douzaine d’hectares, sur quelque 2000 mètres de long et 60 mètres de large [18]. Leur lotissement va donner lieu à l’ouverture : sur le chemin de contrescarpe, des rues du Mail et de Cléry ; sur le fossé, des rues des Fossés, Neuve-Saint-Eustache et de Bourbon [les trois formant la rue d’Aboukir]. Le Barbier semble avoir fait une priorité de la revente de ces terrains, qui seront rapidement lotis et trouveront preneurs dès avant sa mort, en 1641 [19].

Le quartier Richelieu

Pour la conclusion de ses traités, Le Barbier a bénéficié du soutien de Richelieu, auquel le roi a confié le 7 mai 1631 la direction générale des fortifications nouvelles, et qui est lui-même directement engagé dans une vaste opération immobilière depuis qu’il a acheté, le 7 septembre 1624, l’hôtel d’Angennes, situé intra-muros à proximité de la porte Saint-Honoré. Dès 1626, le roi a donné au cardinal les terres du rempart de Charles V situées derrière son hôtel [20]. La destruction de ce rempart va permettre à Richelieu d’agrandir son domaine pour constituer ce qui est aujourd’hui le jardin du Palais-Royal. En 1634 et 1635, Richelieu achète des terrains au nord du rempart, puis encore plusieurs maisons de 1636 à 1642 [21].

Le Palais-Royal en 1750, dessin. A cette date, on est encore très proche du palais de Richelieu. Tout changera après l’incendie de 1763. On observera que le dessinateur (anonyme) n’a pas restitué les immeubles de rapport qui entouraient le jardin.

Sur ces terrains, Richelieu fait tracer un vaste rectangle, « d’environ 200 toises de long, depuis la rue Saint-Honoré, sur 70 toises de large, ayant son grand axe perpendiculaire à la façade de l’ancien hôtel d’Angennes reconstruit par Le Mercier [22]» (la toise mesure 1,949 mètre à Paris). Sont créées en conséquence les rues de Richelieu, Neuve-des-Petits-Champs [rue des Petits-Champs], Neuve-des-Bons-Enfants [rue Radziwill]. Sur ces trois rues, il détache de son jardin une bande de 7 toises de large et y découpe 45 lots, qu’il vend à rente le 17 mars 1636 à Le Barbier (sauf 3 qu’il conserve). Le Barbier s’engage à faire bâtir sur chacune des 42 places, dans le délai de 4 ans, un pavillon conforme au plan fourni par le cardinal (et établi par Charles du Ry). Comme ces pavillons ne doivent présenter qu’une façade aveugle sur les jardins, ils ont du mal à se vendre. En 1655, seuls 17 pavillons seront construits. Le lotissement ne sera achevé qu’en 1660.

Dans le même temps, dans le quartier situé au nord de la rue Neuve-des-Petits-Champs [rue des Petits-Champs], de nouvelles rues sont ouvertes, selon un réseau orthogonal à la rue Saint-Honoré [23] : les rues Gaillon, Sainte-Anne, de Richelieu (ainsi prolongée vers le nord), Vivien [rue Vivienne] et Notre-Dame-des-Victoires. En transversale, la rue Saint-Augustin s’allonge en parallèle du nouveau rempart.

Dans ce quartier, fait de cultures et de jardins maraîchers morcelés entre de nombreux propriétaires et locataires [24], Le Barbier et son associé Desportes se portent acquéreurs d’une multitude de terrains entre 1633 et 1634 [25], « A la mort de Le Barbier (décembre 1641), sont déjà lotis […] le côté occidental de la rue de Richelieu jusqu’à la rue Traversante [rue Molière], tout le côté oriental jusqu’aux remparts, les rues Neuve-des-Petits-Champs [rue des Petits-Champs] et Neuve-Saint-Augustin [rue Saint-Augustin] à l’est de la rue précédente, toute la rue Vivien […] Les rues Neuve-des-Petits-Champs et Neuve-Saint-Augustin continuent à se lotir lentement à l’ouest de la rue de Richelieu, de 1645 à 1665.  [26]»

L’hôtel Tubeuf aujourd’hui.

Parmi les acquéreurs des terrains de Le Barbier de 1634, il faut citer Charles Duret, seigneur de Chevry et de La Grange, président aux Comptes et contrôleur général des finances, qui fera construire au nord du Palais-Cardinal, l’hôtel encore existant du 8 rue des Petits-Champs. En 1641, ses héritiers le revendent à Jacques Tubeuf, autre président aux Comptes, qui le loue à Mazarin en 1643, puis le lui vend en 1649. D’autres acquisitions faites pour le compte de Mazarin lui permettront de se constituer une vaste propriété qui, après le partage provoqué par sa succession, sera à l’origine de l’actuel Palais-Mazarin (qui abrite la Bibliothèque Nationale de France Richelieu).

En 1667, la décision d’aplanir les buttes Saint-Roch et des Moulins, situées à l’ouest du Palais-Cardinal, donne un nouvel élan aux constructions dans le triangle formé par les rues d’Argenteuil, des Petits-Champs et de Richelieu. Les rues de Ventadour, des Moulins, du Hasard [Thérèse] et Villedo se bâtissent à cette époque, loties par Michel Villedo et ses associés [27].

Le quartier de la place Vendôme

A l’ouest des actuelles rues Saint-Roch et Gaillon, la création de l’enceinte des Fossés Jaunes n’a pas les mêmes conséquences. Le faubourg qui s’était développé au débouché de la porte Saint-Honoré ne s’élargit pas immédiatement. Les constructions restent concentrées de part et d’autre de la rue Saint-Honoré, et de vastes espaces sont occupés par les jardins des couvents : les Feuillants (1587) [n° 229-235], les Capucins (1586) [n° 237-251], les Dames de l’Assomption (1622) [n° 263] au sud ; les Jacobins (1613) [n° 328], les Capucines (1604) [n° 360-364], les Dames de la Conception (1635) [n° 382], au nord [28]. On y trouve également l’hôtel de Vendôme, dont les terrains seront acquis par l’Etat en 1685. A cette date, la destruction de l’enceinte des Fossés Jaunes est en cours, et Pierre Bullet a commencé à réaliser le Nouveau Cours (voir Paris 1600-1700, vue d’ensemble).

La rue Saint-Honoré au XVIIIe siècle, dessin de Jean-Baptiste Lallemand (1716-1803). Sur la rive sud, on aperçoit la façade des Feuillants et, au loin, le dôme du couvent des Dames de l’Assomption. Sur la rive nord, l’entrée de la place Vendôme.

L’idée de créer une place royale à l’ouest, en écho à la place Royale du Marais [place des Vosges], est à l’origine de l’acquisition des terrains de l’hôtel de Vendôme, qui seront augmentés de ceux du couvent des Capucines, déplacé de ce fait au nord de la future place [29]. Les premiers plans dessinent une place rectangulaire, ouverte uniquement sur la rue Saint-Honoré. Pour en assurer l’unité architecturale, les façades en sont bâties, vers 1686-1687, portées par des soutènements. Les acheteurs sont invités à acquérir les lots et à y construire en s’accordant à ces façades. En 1699 – l’année même où sa statue équestre, par Girardon, est installée – Louis XIV modifie les plans, retient l’idée d’une place octogonale, ouverte au sud et au nord (selon la configuration actuelle). Les façades déjà construites sont alors démolies, d’autres sont édifiées selon les plans de Jules Hardouin-Mansart. Les terrains seront revendus, au début du XVIIIe siècle, à des particuliers « à qui la fortune, dans ces dernières années de confusion, a procuré des facilités de se loger en grands seigneurs [30]».

C’est après 1700 également que se construisent les rues ouvertes au nord de la nouvelle place et autour du nouveau couvent des Capucines : la rue Neuve-des-Petits-Champs [rue Danielle-Casanova], prolongée par la rue Neuve-des-Capucines [rue des Capucines] jusqu’au boulevard ; la rue Louis-le-Grand ; et, en perpendiculaire, la rue Neuve-Saint-Augustin, prolongeant la rue Saint-Augustin.

CARTES

Michel Huard, Atlas historique de Paris :

Cartes du XVIIe siècle :

BIBLIOGRAPHIE

CHADYCH Danielle, LEBORGNE Dominique, Atlas de Paris. Evolution d’un paysage urbain, Paris, Editions Parigramme / Compagnie parisienne du livre, 1999, 199 p.

DUMOLIN Maurice, Etudes de topographie parisienne, Paris, Impr. Daupeley-Gouverneur, 1929-1931, 3 vol.

GAGNEUX Renaud, PROUVOST Denis, Sur les traces des enceintes de Paris, Paris, Editions Parigramme / Compagnie parisienne du livre, 2004, 241 p.

LAISNEY Francois, Règle et règlement. La question du règlement dans l’évolution de l’urbanisme parisien 1600-1902, Paris, Ecole d’Architecture de Paris Belleville, 1989, 88 p.

LAVEDAN Pierre, Nouvelle Histoire de Paris : Histoire de l’urbanisme à Paris, Paris, Association pour la publication d’une Histoire de Paris, 1993, 732 p. (avec un supplément de Jean Bastié) [1ère édition, 1975]

ROULEAU Bernard, Paris. Histoire d’un espace, Paris, Editions du Seuil, 1997, 492 p.

NOTES

[1] GAGNEUX 2004, p. 32

[2] GAGNEUX 2004, p. 33

[3] GAGNEUX 2004, p. 35

[4] GAGNEUX 2004, p. 79

[5] GAGNEUX 2004, p. 81

[6] GAGNEUX 2004, p. 105

[7] GAGNEUX 2004, p. 28

[8] ROULEAU 1997, p. 174

[9] CHADYCH 1999, p. 66

[10] GAGNEUX 2004, p. 99

[11] GAGNEUX 2004, p. 101

[12] GAGNEUX 2004, p. 102

[13] GAGNEUX 2004, p. 103

[14] LAISNEY 1989, p. 5

[15] DUMOLIN 1929-1931, II p. 117-120

[16] DUMOLIN 1929-1931, II p. 127-128

[17] DUMOLIN 1929-1931, II p. 142

[18] DUMOLIN 1929-1931, II p. 178

[19] DUMOLIN 1929-1931, II p. 333

[20] DUMOLIN 1929-1931, II p. 116

[21] DUMOLIN 1929-1931, II p. 149-152

[22] DUMOLIN 1929-1931, II p. 153

[23] DUMOLIN 1929-1931, II p. 167-170

[24] DUMOLIN 1929-1931, II p. 143

[25] DUMOLIN 1929-1931, II p. 180-186

[26] DUMOLIN 1929-1931, II p. 333-334

[27] CHADYCH 1999, p. 66

[28] Pour cette partie, la source est LAVEDAN 1993, p. 219-227

[29] ROULEAU 1997, p. 241

[30] BRICE Germain, Description de la Ville de Paris, 1752 (9ème édition), cité in LAVEDAN 1993, p. 226

ILLUSTRATIONS

(1) Plan de Vassalieu (détail) – Gallica BNF

(2) Estampe de Philippe de Champaigne – Gallica BNF

(3) Dessin d’Israël Silvestre – Gallica BNF

(4) Le Palais-Royal, dessin anonyme – Gallica BNF

(5) L’hôtel Tubeuf – Remi Mathis [CC BY-SA 3.0] via Wikimedia Commons

(6) Dessin de Jean-Baptiste Lallemand – Gallica BNF

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